Maelyn arriva dans son village, malgré l'heure la vie commençait déjà envahir le village. Lentement mais surement. L'Oparia fut donc accueillis par des enfants du village, qu'elle avait pour la plupart connut bébés. Ils l'a considéraient comme leur grande sœur adoptive et lui narrèrent leur vie depuis son départ.
- Moi j'ai monté pour la première fois sur un cheval il y a deux jours...
- Moi j'ai arrête de sucer mon pouce ici
- moi j'ai fait ceci....
- Moi j'ai fait cela...
Maelyn interrompit gentiment la marmaille qui s'agglutinait autours d'elle et se mit en quête de ses parents. Elle ne les avaient pas vu depuis longtemps et lui avait terriblement manqué. Elle les trouva enfin en train de vaquer à leur occupations matinal et habituelle.
- Maelyn!! Ça fait plaisir de te revoir, comment va tu? L'accueillis sa mère folle de joie de la retrouver.
- Bien et toi maman? Demanda l'Oparia tout aussi heureuse.
- Notre petite fille à encore poussé depuis le temps, fait attention à ne pas séduire trop de monde tout de même. AHAHAHA se moqua son père.
- ROOOH papa...
Et ils discutèrent ainsi jusqu'à l'après midi. Ils discutèrent longtemps et Maelyn prenait des nouvelles des uns et des autres. Sa mère elle s'inquiétait de toutes les blessures qu'elle avait eut pendant son voyage. Son père quant à lui.
- Moi je te dit que tu maitrise encore mal le pouvoir de séduction des femmes, je te dit que tu lui a tapé dans l'œil moi!
Semblait être convaincu qu'Abricot n'était pas QUE l'ami de Maelyn.
-Papa tu n'a jamais entendit parler du terme ami? Ce n'est pas parce qu'un garçon vient demander de l'aide à une fille qu'il est forcément amoureux d'elle.
- Alors c'est un dragueur, il parait que les garçons blonds sont tous dans ce style là.
- Chéri n'ait pas de préjugé s'il te pait, je te rappelle que ton père était blond.
Maelyn soupira et s'éloigna du couple mais elle fut tout de suite rejointe par sa mère. Elle parlèrent entre elles pendant un petit moment.
- Au fait maman, tu n'aurait pas entendu parler d'une prophétie comme quoi un Elema détruirait un jours Thoawin?
- Non mais l'épidémie du dépeceur ne me plait pas. Un barde m'a raconté un jours que le Fléau reviendrait un jours sur Thoawin. Et que l'une de ses séquelle serait une maladie terriblement contagieuse et mortelle.
- Tu croit que?
Mais avant qu'elle n'ait put avoir la réponse un crie résonna, son père gisait à terre transpercé à la poitrine pas une planche de la maison voisine, qui venait d'exploser.
Avant qu'elle en comprenne quoi que se soit le village était en flamme. Rien n'avait laissé présager cela et pourtant... La panique s'empara des villageois qui s'enfuirent dans toutes les directions. Mais pas un en réchappa.
Ils moururent.
Tous.
Femmes.
Enfants.
Tous.
Maelyn et sa mère réussirent à fuir mais bientôt sa mère s'écroula et porta sa main à sa gorge. Une force invisible était en train de l'étrangler.
- Mael... yn, fait.... bien att... en.... tion.... à toi. HUNGH. Ta Grand mère serai... Serait... ARRRRG
- NON!! Maman ne me laisse pas!! S'il te plait reste avec moi!!
Mais sa mère mourut sans qu'elle en puisse faire quelque chose. Le feu se dirigeait vers elle. L'Oparia se résolut la poitrine déchirée à abandonner sa mère au flammes et traversa la rivière.
Une fois de l'autre coté elle se laissa tomber les épaules secouées par les larmes de regrets de de remords. Elle n'avait rien pus faire.... Rien. Ils étaient tous morts les uns après les autres.
- Pourquoi est ce que ça arrive maintenant, pourquoi le fléau les a tués!!! POURQUOI!!!!!
Cria t'elle aux flammes comme si elles pouvaient lui répondre. Ce qu'elles ne firent pas malheureusement. Et Maelyn continua à pleurer jusqu'à ce que ces larmes furent tarit. Elle se releva mais ne bougea pas. Si le Fléau voulait la tuer elle il n'avait qu'à venir. Elle était prête!