Après des heures de marche, Rolando aperçoit une ville. Après quelques temps de réflexions, il se décide à ne plus fuir et voler mais tenter de s'insérer dans une ville et d'y vivre honnêtement...
Malgré l'envie qui lui prenait de gouter à la tarte aux cerises laisser sur le bord de la fenêtre, surement laissé là par grand mère afin que celle ci refroidisse, il se décida de ne plus voler puisqu'il avait décider de mener une vie juste.
Après avoir flanné dans les rues, il repère un bâtiment au fond d'une esplanade, surmonté de l'allusion "Mairie". Il se décide à rentrer et à voir si il peut clarifier sa situation...

*TocTocToc*
Aucune réponse... Malgré tous, Rolando s'hasarda à ouvrir la porte.
* ... Il y a quelqu'un ?*
Après tous, il est normal que personne ne soit en Mairie en pleine nuit. Rolando improvisa donc un camping dans un coin éclairé de l'esplanade afin de voir venir le danger.
Bien que froide, la nuit était clair et la lueur de la lune lui rappelait bien des souvenirs. Rolando s'endormit en repensant à ces tendres années tous se passez bien...

*Bouarrrrrfffff... Bien dormi dis donc.*
En effet, la nuit fut calme pour Rolando car il se savait en sécurité entre les murs de la ville. Mais il commençait à prendre peur que certains actes commis dans sa jeunesse soit arrivés jusqu'à et qu'ainsi il dusse fuir le plus vite possible pour éviter toute potence...
Il retenta malgré tout sa chance en début de soirée...

*TocToc toc...
L'absence de réponse commencée à inquiéter Rolando, qui se demandait si cette absence prolongée était due à un événement exceptionnel... Il devait à tous prix demander l'autorisation de rester dans cette ville pour y vivre car il craignait qu'à force de camper devant la Mairie, on ne le prenne pour un mendiant et le chasse de cette ville...
Malgré tous, Roldando ne manquait pas d'imagination et alluma un petit feu ou il fit bruler les quelques chamallows qui lui restaient afin de manger un petit quelque chose. Il espérait, en outre, que la lueur orangée du feu attire les instances de la ville vers la Mairie.
Le feu n'y avait rien fait et Rolando se remit encore dans ce coin éclairé ou il regardait les étoiles qu'il aimait tant, et qui lui rappelait des jours meilleurs...

*Bon bah, ce ne sera pas aujourd'hui que je verrai le maire, esperont que demain soit un jour meilleur...*

La nuit fut bonne pour Rolando, mis à part quelques poivrots sortant de tavernes qui étaient venus chanter sur le parvis en pleine nuit, il dormit bien. En outre, il put entendre au loin des cris de joie et des feux d'artifices perçaient le ciel.

*Plutôt que d'attendre bêtement ici, autant mieux chercher d'où viennent ces bruits, et qui dit fête dit amusement et cela me plais bien* s'exclama t'il.

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Rolando arriva à la marie au pas de courses, il avait gardé sa tenue d'apparat car, il se disait que quitte a s'inscrire, autant faire bonne impression. Il reprit donc son souffle et entra.


* Bonjour Bonjour. Il y a t'il quelqu'un ?*

L'employée chargée de rediriger les nouveaux venus vers le bureau du maire regarda Rolando quand il arriva.

- Winéa Monsieur... Je suis Elodie, et je travaille ici, je réponds à certaines questions des gens et je redirige les nouveaux venus vers le bureau du maire. Vous venez pour une inscription? Vous pouvez voir le Maire il est prêt à vous recevoir, mais faites vite, car il est attendu à la fête.
Sinon, vous pouvez toujours vous rendre vous aussi au bal et venir faire votre inscription par la suite, il sera surement dans de meilleures conditions pour vous répondre.

* Un bal ?*
Voila donc pourquoi la ville semblait déserte et la mairie si vide… Mais Rolando ne pouvait pas se rendre à un bal seul. C’était impossible pour un homme comme lui d’y aller seul. Et comment trouver une cavalière le jour d’un bal ? Mais, il eut une idée de génie.
[b]*Dites, Belle Elodie, comment se fait il qu’une gentille et jolie jeune femme comme vous ne soit pas au bal ? Manquerais t-il un homme pour vous y conduire ?
Voyez vous, cela ne me dérange aucunement d’aller au bal, qui doit être magnifique aux vues des festivités dont j’ai pu voir les reflets s’éblouir dans mes yeux mais je ne puis aller seul à un bal, cela ne se fait pas.
Néanmoins, puisqure je ne veux point déranger le maire qui doit plutot être occupé avec l'organistion de cette fête, soit dis en passant magnifique, j'irais donc à ce bal et reviendrais quand il pourra me rencontrer.
Rolando se mit donc en marche, bien qu'il n’avait pas de cavalière. Et puis peut etre qu'il trouverai quelqu'un une fois sur place car, il n'était peut être pas le seul à venir non-accompangé

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